Sur Paris, nous avons recueilli une soixantaine de pétitions et une centaine de lettres à envoyer au préfet, plus des adresses mail pour faire part du suivi et des prochaines rencontres.
Dans les pétitionnaires, un avocat, un juriste en droit social, deux internes en médecine, des cadres marketing, un graphiste, des étudiants en maths, des chargés de projet, des personnes sans profession ou retraitées, quelques lycéens déjà sensibilisés par les menaces d'expulsion de leurs camarades, des gens au courant, des gens stupéfaits et croyant à peine ce qui leur était expliqué...
Beaucoup de coopération et très peu de refus de signer ; certains ont emporté des lettres tracts pour donner autour d'eux, ou dans leurs associations ; une dame avait entendu sur une information sur RFI le matin même mais sans pouvoir dire s'il s'agissait du cas de Va, et une autre avait entendu parlé de Va sur le répondeur de "Là-bas si j'y suis", sur France Inter.
A la Roche sur Yon, une centaine de personnes rassemblées sur la place Napoléon.